Le colibri est un oiseau en mouvement perpétuel, ouvert vers le monde, un peu comme Vianney. Il se restaure avec ce mouvement d’aile perpétuel, et ainsi reste toujours à l’affut de son environnement.
Nous savons pertinemment que nous ne pourrons pas aider tout le monde, tous les pèlerins, toutes les personnes en quête et en souffrance, mais nous savons que l’on pourra faire notre part et essayer d’aider qui en aura besoin.
Notre lieu de vie sera, après quelques évolutions (qui pendront quelques mois), un espace de mémoire du labeur, un lieu de spiritualité et de zenitude, où l’entre-aide sera présente pour qui sera en quête, en demande d’aide.
L’esprit se nourrit de l’autre, d’échange et de discussion… mais le corps a besoin aussi de carburant. Alors nous tenterons d’apporter notre culture culinaire empreinte de chaleur asiatique et créole, d’épices (à ne pas confondre avec piment) et de goûts. Une richesse d’évasion vers d’autres cieux, vers un bien être.
Nous souhaitons aussi transmettre nos humbles connaissances en matière de dégustation (vin, rhum, whisky, armagnac – dans le raisonnable bien entendu), permettant l’éveil des sens, de la conscience et de la compréhension de soi.
Chacun a des capacités, des dons, alors utilisons les envers l’autre et soi-même… »
En prenant part à une mission importante, le colibri porte en lui l'optimisme, la générosité et le courage propres à ceux qui s'engagent. Il va aussi déclencher l'engagement d'autres, susceptibles de l'aider à réussir sa mission.
Et comme disait Gandhi « Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde » .